Journée mondiale des droits de l’enfant

Frédéric Mondin

Ce 20 novembre, c’est la journée mondiale des droits de l’enfant !

Saviez-vous que le mot « enfant » s’est construit sur le latin qui signifie « privé du droit de parole » ? À tous ceux qui veulent les empêcher de s’exprimer, Jésus-Christ dit :

« Laissez les petits enfants, ne les empêchez pas de venir à moi, car le royaume des cieux est pour ceux qui leur ressemblent ». – Matthieu 19 : 14 (Segond 21)

À WEC France, nous croyons que les enfants sont des personnes à part entière. Ils ont le droit de vivre d’une manière décente, de s’exprimer, de bénéficier d’une scolarité, d’être écoutés. Peu importe leur origine, leur culture, leur milieu social, leur religion. Ils sont l’avenir de notre monde.

Connaissez-vous les droits spécifiques des enfants ? Vous trouverez facilement sur internet les 54 articles de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE). WEC France défend les droits des enfants à vivre, être éduqués, à entendre parler de l’amour de Dieu pour eux à travers celui qui les aime d’un amour sincère et inaltérable : Jésus-Christ.

Voici comment nous joignons les actes à nos paroles :

Au Sénégal

Magali accueille, de jour, les enfants des rues et participe à leur alphabétisation, à leur scolarisation, malgré les difficultés pour ces garçons qui n’ont, pour seuls repères, que l’instabilité de la rue. Ils peuvent aussi y prendre leur déjeuner.

Ces enfants sont livrés à eux-mêmes dans la rue, en rupture familiale. Ils n’ont plus de maison et doivent se débrouiller pour se nourrir, pour dormir.

Dans le cadre d’un autre programme, une petite maison accueille nuit et jour les garçons et les prend totalement en charge

La Mission Espoir des Enfants (MEE) met aussi à la disposition des filles une structure de scolarisation qui, au fil des ans, est devenue quasiment une école officielle, avec 80 filles.

Plusieurs de nos WECcers sont aussi largement impliqués dans une école qui reçoit des enfants de missionnaires. Les parents œuvrent dans des zones dangereuses et ne peuvent pas toujours emmener avec eux leurs enfants. Cette école suit le programme d’enseignement de Cambridge.

Au Burundi

Lydie, est infirmière, notamment pour les enfants, à travers un programme pour les moins de 5 ans depuis 2018. Ce programme facilite l’accès aux soins sans attendre d’avoir de quoi payer, afin de ne pas retarder le traitement nécessaire.

Lydie œuvre aussi dans une maison d’enfants (The Cries of a Child) qui accueille 22 orphelins, de l’âge de trois ans à des jeunes adultes. Ils peuvent y trouver soins, encadrement spirituel, et des cours de français.

Raphaël, fraîchement arrivé sur le terrain avec Eva, sa femme, assiste Éric, un jeune de l’orphelinat, afin de lui faire gagner de l’expérience dans le domaine de la mécanique. Éric espère ouvrir, un jour, son propre garage. Eva met aussi ses dons au profit des enfants.

En Côte d’Ivoire

Klaus et Yolande participent à un projet grandiose (et coûteux !) pour scolariser des enfants des rues. Certains d’entre eux parviennent à briser le cycle de la violence des rues et s’engagent dans une formation qui leur donne un avenir.

Ils mènent des formations à l’écoute active et apprennent des responsables d’Église à prendre en compte et à gérer les traumatismes de la guerre chez les enfants.

Laisse Dieu t’interpeller par le sort des enfants, prie avec nous. Inscris-toi pour prier avec nous pour ces ministères si précieux ! N’hésite pas à prendre contact avec nous si tu souhaites aller plus loin.